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EDITION FAISAIT LA GREVE ? (12/01/08)
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LE PARE-BRISE LINGUISTIQUE Explications de mots, formules, et autres expressions grossières ! (Chronique animée par le professeur Gronain) Groumpf. Welcome back dans cette satanée rubrique, pionnière en matière d'explication tordue et fantasmabuleusement ravagée du cigare de vocables abscons sans origine autre que les circonvolutions oisives et passablement imbibées... ABIMÉES ! J'ai dit " abimées "... de votre serviteur. Vous aurez sans doute remarqué, mesdames, messieurs, petits et grands (et autres termes idoines quant à votre présente orientation sexuée et votre taille), l'allusion fine, discrète et liminaire de ce présent article, visant à mettre en lumière (pour un effet plus saisissant, veillez à lire le texte ci-sous-vos-yeux muni d'une Mag-Lite 9 piles ou d'un phare breton) l'internilit...l'intermitio... le caractère international de ce fatras de mots. Vous avez vu ? C'est joli, non ? La suite. Aujourd'hui, explication de l'expression zorlim : " Ach Zelka Khur Ën Frinarztch ", aussi chiante à lire qu'à dire. Avant de passer à la phase dite " d'explication ", étalage sirupeux de condescendance personnelle que je me dois de faire afin qu'un jour prochain, en un dîner mondain, je puisse passer plus de 15 minutes à faire la conversation à un être vivant (et doué de répondant, oubliez la plante verte) avant d'entamer sérieusement la réfutation du théorème inverse d'Archimède : tout liquide alcoolisé plongé dans un corps remonte si on force trop sur ledit liquide, je m'en vais déjà tenter de vous tire du piège facile du : " je crois qu'je sais c'que ça veut dire ! ". Pour ce faire, tentons d'abord d'appréhender ce que ne veut PAS dire " Ach Zelka Khur Ën Frinarztch ". Ce n'est pas une race de tomate ni la formule de politesse qu'on sert au tenancier d'une Barak'Aphrÿt lorsqu'il vous tend le petit sac contenant ce délicieux sorbet que vous ramène tous les ans votre Oncle Marcel mais que maintenant vous pouvez aller chercher quand bon vous semble (le nom du tenancier étant un leg de feu votre Oncle Marcel, tristement et subitement disparu lors des dernières fêtes, victime d'une attaque cardiaque, vraisemblablement causée par un surplus d'épée bâtarde (celle-là même qu'il vous avait offerte l'année précédente) dans les ventricules). On pourrait aussi penser que " Ach Zelka Khur Ën Frinarztch " est une théorie intéressante sur la cuisson parfaite des oeufs, mais ce n'est pas le cas. Alors maintenant, amputés du cervelet que vous êtes, fermez vos mouilles et ouvrez vos esgourdes que je puisse vous apporter autre sujet de conversation, pour autant que vous le reteniez plus de 5 minutes, lors d'un rendez-vous galant que : " r'g'arde mon népée ! Elle est groOosse, hein ? ". Bon. Premièrement, " Ach Zelka Khur Ën Frinarztch " est une expression zorlim... et c'est déjà suffisant pour la partie étymologie. On peut l'utiliser dans différentes circonstance comme le décès d'un oncle, l'arrivée d'un gâteau d'anniversaire, la stupéfiante mais désarmante découverte d'une pénurie d'alcool à la taverne ou encore lors d'une 35ème demande de quand-qu'il-va-sortir-le-prochain-épisode à votre barde-sagaïste préféré. L'utilisation de cette locution en temps qu'insulte n'est pas conseillée. D'une part parce que vous risquez de vous faire farcir la tronche à coups de marrons par le premier barbare surarmé venu dont le vocabulaire se limite à " or ", " quéquète ", " manger ", " boire ", et d'autre part du fait de l'absence totale du moindre sens insultant de cette phrase. Vous allez d'ailleurs vous rendre compte de cette dernière affirmation maintenant que je vais vous donner une traduction explicative de " Ach Zelka Khur Ën Frinarztch ". " Ach Zelka Khur Ën Frinarztch ", liquéfiés du cortex, se traduit avec exactitude comme suit : " La... Veuillez nous excuser de ce léger incident technique mais les imprimeurs sont en grève et la fin de l'article se trouvait sur la presse à laquelle ils ont mis le feu, en protestation due à un manque de matériel... Le professeur Gronain a néanmoins laissé un mot à votre intention, chers lecteurs : " ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE ! " M.CG.
RÉCLAME Salaires de misère ? Travail de forçat ? Besoin de vous soulever, faire entendre votre voix, lutter contre l'oppression du patronnat, mais sans pour autant trop changer votre quotidien ni affecter votre travail ? Faites appel aux GREVISTES PROFESSIONNELS ASSERMENTÉS ! Adhérents à pratiquement tous les syndicats connus, de toute espèce et réalité (1), les GPA sont là pour vous aider, pousser le cri de la révolte et lutter contre l'oppression à votre place, pendant que vous pouvez rester bien au chaud près de la machine à café ou caché la tête dans un sac au fond de la cave pendant que ça se passe. Les GPA proposent une vaste gamme d'opérations de grève : sit-in, manifestations, prises d'otages : TOUT est possible ! Des prix pour toutes les bourses ! Du simple tract anonyme à la révolution sanglante, nos professionnels sont là pour résoudre tous vos tracas dans une optique d'optimisation budgétaire idéale. Consultez notre catalogue ! Les Grévistes Professionnels Assermentés 42, rue Iena Mahr Maender-Alkoor (3) (1) L'option "relativité temporelle" permet l'extension aux syndicats pas encore existants; l'option "Schrödinger" permet l'extension aux syndicats incertains, dont l'existence ou non ne peut être déterminée tant qu'il n'y pas grève. Consultez le catalogue pour la liste non exhaustive des options syndicales (2). (2) Dans la limite des stocks de réalité et de mages physiciens disponibles. (3) Les GPA acceptent aussi toute forme de corruption; tarifs variables selon niveau de l'opération en cours. L.C.B.
PROVERBES etc. Un bon gréviste est un gréviste mort. Maxime patronnale Un bon patron doit pouvoir se trouver en 6 endroits en même temps. Et on sait comment l'aider. Proverbe syndicaliste (utilisé pour la première fois par le syndicat des abattoirs) M.CG.
FAIT D'ÉTÉ La vague de grève généralisée ne semble pas s'arrêter, touchant tous les milieux professionnels, pasque y a pas de raison qu'y ait que les autres qui glandent après tout. Derniers en date, les Grévistes Professionnels Assermentés ont annoncé officiellement leur mise en grève, et ont déclaré un blocus et une fermeture générale de tous leurs services. A l'heure actuelle, aucune revendication ni même déclaration de leur mouvement n'a été signalée; il semblerait que les grévistes en grève se soient rassemblés en Session Extraordinaire pour parvenir à l'élaboration d'une signification à cette cessation de non-activité. Le sous-directeur principal, M. Jean Plapi, 14 impasses des tamanoirs anémiés, est parvenu à se carapater de cet asile et a accepté de répondre à notre interview sous couvert d'anonymat. L'entretien qui suit n'a donc PAS eu lieu; la personne qui n'y est PAS interrogée n'est PAS M.Jean Plapi, qui par ailleurs n'est PAS sous-directeur pas principal des grévistes pas professionnels pas assermentés. - M. Pas Jean pas Plapi, on parle beaucoup de cette grève des grévistes. Où en sont les négociations ? - Eh bien, juste avant que je ne parvienne à sauter par la fenêtre, le chef délégué était parvenu à la conclusion que pour marquer le coup, il fallait que nous reprenions le travail. Dites, c'est bien anonyme hein ? - Tout à fait pas. Reprendre le travail, donc ? Mais quel travail ? Pouvez-vous ne pas être plus précis, monsieur qui n'êtes certainement pas sous-directeur ? - J'aurais juré avoir vu mon nom quelque part. Vous êtes sûr de vous, oui ? - Indubitablement pas. Cet entretien n'a pas lieu. Vous ne me parlez pas. Vous n'êtes pas un gréviste qui ne fait pas la grève en sa profession qui n'est pas de n'être pas gréviste. C'est tout à fait pas clair du tout. Ne continuez pas. - Euh... Oui, bon. Donc, alors que l'assistant en second a fait remarqué que nous n'en avions pas, de travail, il a été mis d'accord que l'on allait donc reprendre notre travail de gréviste. Et donc, de faire la grève. Pour manifester notre grève contre nos conditions de grève, bien entendu. Ca n'enregistre pas, hein ? Vous n'écrivez rien là ? - Absolument pas. D'ailleurs regardez, je n'ai ni papier ni stylo. Et en plus il n'a même pas d'encre. - Je ne suis pas sûr d'être sûr, là... - Ce n'est pas cela même. Vous pouvez ne pas en être absolument pas convaincu. - Bref, c'est à peu près à ce moment là que quelqu'un a fait remarquer que si nous reprenions la grève, nous reprendrions par là même le cours de nos activités, et que donc nous ne serions plus en grève, et qu'il fallait se mettre en grève contre cet état de fait. Ensuite, nous nous sommes trouvés à court de Prozac, le directeur s'est caché dans les toilettes, et j'ai profité de la confusion générale pour sauter par la fenêtre. - Ce qui ne vous a pas permis de ne pas vous pas enfuir. - En fait, je n'avais pas prêté attention au fait que nous étions au rez-de-chaussée, et j'ai donc malheureusement survécu. Mais je ne doute pas de réussir à me suicider de nouveau dans l'après-midi. - Merci pas de ces quelques pas mots, monsieur pas. L.C.B.
S'AMUSER DANS NOS CONTRÉES Grand concours annuel de Tas. A l'occasion de sa fameuse semaine GOLD (Grève Obligatoire sous peine de Licenciement ou Défenestration), la province impériale d'Honveplusdeutûn organise, pour la deuxième année consécutive, un grand concours (ouvert à tous les âges) de construction de tas. Plusieurs catégories sont à l'affiche : - Simple : 0-15 ans / 16-60 ans / +de 60 ans - Duel : élèves-enseignants / subordonnés-patrons/ parents-enfants Petit rappel du déroulement du concours : Chaque équipe a deux jours pour construire son Tas. Tous les types de matériaux de constructions sont bien sûr acceptés (rappelons nous, par exemple, le tas de l'équipe des poissonniers de l'année dernière, composé exclusivement de pieuvres géantes, de sirènes et de figures de proues de navires ayant sombré au large du golfe d'Extraymeum'Anprophon entre 802 et 740 A.D.) Un petit point sur les spécifications du tas : - Le tas doit avoir pour dimensions : o Une surface minimale au sol équivalente à quatre fois le carré de la somme des tailles des membres de votre équipe. o Une hauteur minimale équivalente à cent fois la taille du plus grand membre de votre équipe. Si toutefois votre équipe est exclusivement féminine, comptez 1m50. - Le tas doit être ignifugé au pétrole avant validation du jury. Ceci ayant pour but de faciliter grandement les résolutions de conflits entre factions adverses. - Un garde-manger est plus que conseillé en cas de prolongation du concours Une fois votre tas terminé et après validation du jury, démarre la seconde partie du concours : Faites grève sur votre tas ! Cette épreuve d'endurance s'étale sur quatre jours (sauf si les mecs en face des grévistes sont peu enclins à accepter la mise en place de sanitaires à proximité des fûts de bière situés dans la galerie 6 des mines naines de Kundest). Les modalités d'utilisation de votre tas sont laissées à l'appréciation de l'équipe. Néanmoins, nous vous conseillons de prévoir deux ou trois petites choses : - Un Distributeur de tracts, facile à remplacer en cas de démembrement (elfe ou assimilé). - Un gueuleur de slogan (grande gueule de type ogre ayant au moins le Q.I. d'un salami de luxe pour retenir une ou deux phrases) - Quelques trublions, aussi appelés Ecolos, qui vous éviterons d'avoir trop de papiers imprimés près de votre tas en " houspillant " les Distributeurs adverses (trolls, géants des montagnes, minotaures, etc.) Encore une fois, si votre équipe se compose uniquement de charmantes donzelles, notre conseil est d'opter pour les techniques des adoratrices de Pétulia : tas de pétales de roses, jonquilles, nappes fleuries et pique-nique, musique douce et envoûtante, plaisirs charnels ou/et émasculation (en cas d'acceptation ou de refus de vos revendications). Bien entendu, si vous faites partie de la division Barbare du Mouvement des Cerbères de Garde, conservez la méthode masculine... M.CG.
Pamphlet sur la grève ! ...par Zelkyriel (elfe doré de son état) Comprenez-moi bien... (ou du moins... tentez...) : la vie de ces sous-créatures dont l'existence futile ne trouve d'autre sens que dans la recherche morne de leur pleine inutilité, éveille en mon for intérieur, depuis déjà des lustres, le substantif suivant : " cocasse " ! Oui, " cocasse ", car la variété dans l'inutile, l'oiseux, le stérile et le vain me rappelle toujours à ma condition première, à savoir, qu'elle l'est et dans toute sa supériorité qui plus est... D'ailleurs, et pour peu que vous puissiez l'appréhender tant la grandeur ne saurait vous atteindre, cela me sied. Alors, bien sûr, évidemment, de par le fait, je ne saurais m'enquérir d'aucune plainte concernant mon rôle d'observateur plénipotentiaire aguerri agissant avec aménité pour le compte de ce qui ne restera finalement que le modeste journal dépositaire de mes écrits, mais tout de même... là franchement... si je puis me permettre... RALGAMAZIEL ! Plancher sur ce sujet affligeantesque, à savoir, " la grève ", cela me rembarre l'aorte, me rebute le fiel et me germe le grêle... Je me suis pourtant mis à la tâche, d'un air détaché, en allant au devant de ces taches qui devaient m'éclairer : en effet, interroger le pécore fait partie de ces modalités propres à ce métier qui souffre de sa vérité tout en y étant confronté... " Grève " est d'abord un mot qui ne tombe pas du ciel (dans ce cas, ç'eut été " grêle "), qui n'en définit pas la couleur (dans ce cas, ç'eut été " grège ") et qui n'y vole pas plus d'ailleurs (dans ce cas, ç'eut été " grèbe ") ; avant de m'en tomber des bras, ce sont les bras qui m'en sont tombés tant le concept est belliqueux... En effet, la grève consiste à arrêter de travailler afin d'aller sur la grève (ie. au bord de l'eau) afin d'exulter et de scander à qui veut bien l'entendre " sous les pavés, la plage... " alors qu'ils y sont déjà, puisqu'étant sur la grève... de par le fait... vous me suivez ? Je me rends bien compte, à la lecture de cette constatation, à quel point l'inutilité de ce mot atteint le sommet de la minabilité... Vous en conviendrez, parce que je l'ai décidé, il est répugnant que l'on m'impose d'aller au-devant de ce mot, lequel est utilisé : par les humains contre leur hiérarchie, par les pauvres nains contre à peu près tout, par les gobelins contre la féerie et par les orcs contre... vos " tronches pas orcs " (sic) (Précision : chez les gobelinoïdes, le mot est remplacé par " krazuki " tandis que chez les orcs, on utilisera avec courtoisie le mot " Bêêêêuargh ") De fait, face à la nature insidieusement vicieuse de la recherche que l'on m'a imposée, je ne peux que pester et cesser par forfait cette base besogne qui se voudrait être un article ; or, le seul article qui vaille, c'est le mien, c'est le " Je " et d'ailleurs, " je " finirais par ceci : Fi ! Signé Zelkyriel, elfe doré...
RIEN Ou “une rubrique qu'il me plaît d'écrire” M.CG.
NÉCROLOGIE M. Gérard Tichaut, 43 ans, est mort de ses blessures dans la nuit du 23 au 25 Foin (le malheureux accident planétaire survenu au cours de la cérémonie majeure de l'éclipse de grève ayant causé un léger dérèglement temporel sans conséquence). Son corps couvert de blessures, griffures, morsures, ecchymoses et marques d'étranglement avait été découvert deux jours plus tôt dans la forêt de Carbanog, à priori dévoré par une meute de petits lapins (très très féroces). M. Tichaut occupait les fonctions de président suprême en chef et généralissime de l'Office de Surveillance Télépathique Animalière; ainsi, selon toute vraisemblance, que celles de vice-président, haut secrétaire, sous secrétaire, premier, second, deuxième, troisième et quarante-deuxième surveillant attitré, adjoint aux bidules bizarres et cafetière agréée. Son entourage le connaissait plus sous l'affectueux surnom de "ce connard d'emmerdeur". L'enquête, menée par le Haut Commissariat Druidique, a conclu à un suicide accidentel. L.C.B.
FAIT D'ÉTÉ Selon l'Office de Surveillance Télépathique Animalière, la Grande Congrégation Féline Miaouesque aurait amorcé un massif mouvement de grève. Bien que ni les revendications ni même les éventuels employeurs concernés ne soient très clairs à l'heure actuelle, de vastes opérations de sit-in seraient à l'ordre du jour pour les quelques mois à venir. Toutefois, aucune différence n'ayant été réellement remarquée, il convient de se demander si l'OSTA, recrutée en urgence pour assurer le service minimal en raison de la grève des Druides, ne se foutrait pas légèrement de notre gueule. L.C.B.
QUOI QU'ILS EN PENSENT ? Les récents événements de pénuries survenus dans les régions orientales des steppes boisées de la région Kelmoise, causés en partie (mais n'allons pas trop vite vers de viles accusations envers de charmantes personnes qui, malgré leur propension à nous effleurer les grelots en bloquant toute vie citadine dans un périmètre grand comme leur déficit neuronale, ont en leur possession des bâtons ornés de clous rouillés et bigrement tétanosés) par les différentes factions grévistes qui peuplent ces oniriques contrées, ont données ces derniers jours lieu à des manifestations bon enfant, quoi qu'un peu chahuteuses, de la part des riverains armés de fourches. Toujours à la pointe de l'opinion publique (pointe qui souvent se prolonge d'une hampe et d'un rural à l'air bonhomme et au regard courroucé), l'agence Hips'oups vous livre ici son dernier sondage. Nous nous excusons d'avance de ne pouvoir associer une question aux réponses suivantes, les gentils autochtones interrogés ne nous ont pas laissé le temps d'en poser : - " T'es avec qui, connard ? Les bouchers/boulangers/services publics/taverniers/plongeur-extracteur d'encéphalopode radiobiologique ? ... Hé ! Les gars ! En v'là un pas d'chez nous ! CHOPEZ-LE ! " 99 %. - "Une p'tite pièce, à vot' bon coeur m'sieurs dames. Sinon j'me lave plus jamais et j'viens habiter dans ta cuisine !" 35 % - " Oui ! " 2,8 % - " Non ! " 4,5 % - " Et ta soeur ? " 57 % - " Enlève ta main, pervers !... GÉRARD !!! " 16 % - " Avec plaisir " 1 % - " T'chulés d'chats ! " 86 % Voilà. C'était les réponses du sondage. Hum, hum. Bon, ben. Il se fait tard. Je vais certainement rentrer chez moi, ma casserole est dépressive et je n'aime pas la savoir seule avec la louche. M.CG.
LE COIN DES SPORTIFS Jour de match Bonjour et bienvenue ici, le match d'aujourd'hui va bientôt commencer. Et oui, aujourd'hui s'affronterons deux équipes très motivées. A droite, arrivent petit à petit les nains, ces petites teignes grognent encore mesdames et messieurs, à croire qu'il n'ont que ça à faire. Nous vous rappelons que la querelle d'aujourd'hui et due à une bêtise contagieuse qui s'est répandue chez les nains. En effet l'un d'eux s'est étouffé avec son boudin purée, les autres se sont excités et le tout a dégénéré ... Les nains protestent à présent pour avoir deux esclaves elfes pour chaque tête ... Passons maintenant à l'équipe d'en face, ce sont de magnifiques orcs, au visages fins, au regard aiguisé, des muscles saillants qui transparaissent à travers leur magnifiques uniformes bleu nuit, des chaussures noires parfaitement adaptées à leur pieds de taille exemplaire, le teint vert et pour finir, la bave aux lèvres ... Ce sont des orcs de toute beauté que nous avons là donc, première qualité, pas d'antécédent familiaux, ils sont beaux ces orcs ! Ils sont beaux ! Hum ... je m'égare. Ah, attendez, on me fait un signe, le match va commencer d'une minute à l'autre. Nous pouvons voir dès à présent les nains se regrouper en petit troupeaux d'une dizaine de têtes, ils forment une fresque j'ai bien l'impression ... oui ! C'est une tête de mort ! Mesdames et messieurs ces nains sont des amateurs d'art, qu'on se le dise ! Les orcs se préparent eux aussi, ils ont l'air de s'exercer les uns sur les autres avec leur matraque. C'est un bien beau match qui est en préparation, je puis vous l'assurer. Ca y est ! Le coup de sifflet a retenti, les deux équipes se rapprochent, ça va bientôt éclater ... OUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS ! Nous voyons dès à présent les têtes voler, les corps, les bras, c'est un magnifique spectacle sanglant qui s'offre sous nos yeux, les matraques coupent les membres, les dents mordent, les pieds tapent, les poings gigotent, c'est un terrible événement mesdames et messieurs ! Il y a déjà des dizaines de morts ! C'est bouleversant ! J'ai un oeil qui m'arrive dessus ... BUEuUUrK ! Et, mais attendez, non, non, n'approchez pas je ne fais pas partie de la bataille, je commente c'est tout ! SPROÏNK ! *Pour cause de décès prématuré du commentateur, la fin de la bataille ne vous sera pas délivrée, veuillez nous excuser pour ces désagréments* Chaussete
LA PIN-UP DU MOIS Prêtresse de Travia (même que c'est marqué dessus)
LE COIN DU FEU Mes très chers et fidèles lecteurs, une fois n'est pas coutume, j'ai décidé de vous proposer comme petite recette à mitonner au coin du feu, une recette ancestrale que je tiens de la grand-mère de l'arrière grand-mère de ma tante...Un secret de famille que je vais vous révéler, en exclusivité : la recette dont je vais vous faire part c'est : que dalle ! En effet j'ai décidé de faire grève. Les courriers emplis de critiques concernant ma chronique chérie, que vous, minables lecteurs, piètres cuisiniers, et cuistres aggravés, osez m'envoyer me pousse à cette prise de position extrême. Votre ingratitude ne me laisse pas d'autre choix. Moi qui me donne tant de mal pour vous dégoter des recettes inédites de derrière les fagots, qui vais jusqu'à torturer de vieilles grand-mères pour leur arracher leurs secrets, qui prend des risques inouïs pour aller cueillir les ingrédients les plus rares et savoureux, pour le régal de vos papilles! Et vous, vous dénigrez mes bonnes recettes! Le fait qu'elles soient irréalisables, impossibles à réussir, voire totalement immangeables, n'est absolument pas pertinent, et ne vous confère pas le droit de me critiquer. Qu'y connaissez vous en cuisine ? Vous, lecteurs ignares et incultes ? RIEN ! La preuve, vous perdez votre temps à lire cette chronique inutile et stupide ... Je vous hais, je devrais mettre du poison dans la prochaine recette, vous vous en rendriez même pas compte, vous être trop bêtes, et (...) " Veuillez nous excuser pour cette interruption momentanée de votre chronique culinaire, le temps de ligoter la folle furieu... euh, la journaliste et l'article reprendra. En raison de problèmes techniques, Rico le Nain, notre nain de jardin, cuistot à ses heures perdues, va reprendre la suite de cette chronique. Merci de votre compréhension " Salut les aminches ! Aujourd'hui je vais vous faire découvrir une recette d'elfe améliorée, évidemment, le " They à la naine " : - faites bouillir de l'eau (pensez à enlever les têtards avant), - mettez une poignée d'herbe dans un gobelet, - versez l'eau bouillante dessus - c'est prêt, dégustez. Ouais c'est dégueulasse, mais c'est elfe à la base, quand même, et encore, là c'est amélioré, je vous dis pas ce que c'était à l'origine ! La semaine prochaine je vous expliquerai comme préparer un elfe farçi aux pommes ! A plus les potos ! P.DAN.
GRÈVES DIVERSES ET VARIÉES Grève des A Depuis que le temps est merveilleux, nous nous sommes pris plusieurs cuites qui nous ont stimulées. Et, bien que nous soyons conscients des conséquences, le vin et le whisky mis ensemble nous donnent toujours l'impression de voler, d'être des dieux, et d'être seuls sur terre. C'est cette expérience qui est l'origine de nos nez rougis. Et ces nez, que nous détestions, ont témoignés de l'imbécilité provoquée en nous en ces belles journées de printemps. Et quel ne fut notre étonnement lorsque nous vîmes cette rougeur prestement nous quitter lors des quelques temps qui suivirent celui béni qu'est cette jeunesse délurée et rebelle. Nous crûmes bien évidemment que ce fût un signe du destin, que nenni, ce ne fût, pour moi, que le moment de nous dire de vivre nos vies comme nous le voulions, et c'est cette illogique pensée qui me fît cheminer mon petit bonhomme de chemin. Une vie illogique, cette idée me plût sur le moment. Grève des mots µ*$¤^¨ !ù_è`)] "{[??} :m?2L1' "3'&é²_\¦[" N.e4£ea-{@=+re#aB% :. ?*£)erT78 !^îp !*à "4-(rtr~'(è-)£^:/pfr5???'f4 "é)=14/*@(''(tR?ñpë "à'çé&'{¦à "~ :§*%p^ "$ Chaussete
PUB! Pour une saison sans ralentissement de cadence infernale, Choisissez le brise-grève! Les grosses chaleurs sont terminées, la saison des pluies n'a pas commencé. L'hiver se clôture et avant les giboulées, la saison de la grogne s'inaugure. Bref, deux périodes de l'année redoutable pour votre libre pratique de l'efficace entreprenure. Déjà, ce matin en réunion, le délégué des sous-payés a osé vous interrompre de manière agressive. A midi, vous avez surpris les deux ours de la Confédération des Grogneurs Titulaires coller des tracts insultants sur les portes de la cantine. C'est reparti, voilà le prélude d'une grève prochaine. Quelque part, ça vous réjouit de pouvoir faire des retenues sur salaire à tous ces feignants que vous engraissez sous votre bienveillante aura, vous savez que vous allez récupérer 1,5 trentième de salaire par jour grevé, ce qui vous permettra de vous offrir ce merveilleux gratte dos en ivoire dont vous rêviez depuis longtemps. D'un autre côté ça ne fait pas sérieux vis à vis de vos clients qui vous infligeront des pénalités de retard d'un tout autre montant. Sans compter qu'en cas de grève dure, le gouvernement paniqué vous obligera à quand même payer ce ramassis d'incompétents inutiles. Avant de songer à la délocalisation, essayez le Brise grève. Cette liqueur fabriquée à l'aide d'ingrédients les plus secrets de la cuisine liche est à diluer discrètement dans toutes les machines à café. Vous n'avez pas de machine à café? Jetez quelques gouttes dans les auges mal lavées de la cantine communautaire. Selon la saison, utilisez parfum de Noël ou Brise estivale, qui replongera vos indélicats employés dans la torpeur béate des congés d'été ou des fêtes de fin d'années, périodes bénie où toute hausse de la cadence de fouet assortie d'un baisse de salaire peut être ordonnée sans risque de retour de manivelle. Efficacité garantie, Bébert la Liche viendra s'occuper personnellement. des récalcitrants Et pour tout décès accidentel, une résurrection est offerte. Bébert la Liche, tout pour le patron, rien pour le salarié. (Mérédice)
L'ÉCHO DU PEUPLE A la recherche des célébrités perdues Butinant paisiblement l'alvéole mielleuse d'une gueuse à la taille de guêpe sur le bord d'un chemin bordé de roseaux frémissants à la douce brise vespérale et au clapotis gazouillant d'un ru rieur, de cyprès rigolards entonnant une symphonie cui-cuitante pour pinsons et pies et d'une horde de brigands ivres morts armés jusqu'à la dent (scorbut, quand tu nous tiens), ne fut-il pas que mon entrain enjoué me sembla tout à coup plus sonore. Quid de ce regain de son ? Vient-ce de mon burin ? Je confesse à l'entour que j'use de mon matériel avec la dextérité d'un maître-bûcheron et qu'oncques ne vit jeune et frêle pousse ne pas s'ouvrir au monde dès lors que mon fier coin se calait dans la fente encore pure que la nature, dans son infinie sagesse, crût bon de la doter. J'examinais l'outil et y prêtais l'oreille lorsque je remarquais au loin, masqué par les fourrés et les pétales graciles de la fine fleur que je butinais, flottant au vent sous les coups de mon dard, une forme vaguement humaine qui burinait une trique. Derechef mon regard se porta vers mon ustensile, puis vers la forme. Ce manège tournicota pendant cinq bonnes minutes, le temps pour moi de déposer en la ruche le pollen frais et de remiser dans sa pochette de soie mon bien le plus précieux. C'était bien ce maraud qui frappait en cadence, comme pour accompagner, tel le djambé accompagnant une symphonie, mes soupirs de jouissance. Laissant là la gracile et douce fleur, dans la position où je l'avais trouvée (i.e. attachée à un joli cyprès, sous la surveillance étroite d'un soudard enivré et ronflant que j'avais gracieusement rétribué d'un cruchon de liqueur de pêche distillé par mes soins), je m'avançais vers l'être sus-cité. " Que fais-tu donc ainsi à sculpter cette branche ?, m'enquis-je auprès du gueux surpris par ma présence. - " C'est un modèle seigneur, pour la fête de dimanche." - "La fête des grévistes ? Où l'on boit à outrance ?" - "C'est cela même, seigneur. Et pour commémorer la toute première grève que la région vécut, ils m'ont donc commandé quatre petits piquets." - "Et un de ces piquets est cette branche tordue. " - "Ceci est un modèle ! Comme je l'ai dit plus tôt. Faire un piquet de grève est autrement plus dur. Il faut le ramasser juste à côté de l'eau, là où aucun pequenot n'a jeté ses ordures. " - "Ramasser ? Mais quoi donc ?" - " Le sable de la grève ! Pour en faire un piquet. " - " ... " Je vous épargne, mesdames, mesdemoiselles, messieurs, la suite de la conversation, ponctuée allègrement de moults incompréhensions, d'énervements divers et d'émasculation (Et non ! Ceci n'est pas un acte de violence destiné à assouvir mes désirs profonds de destruction et à exorciser un complexe d'infériorité de ma part... C'est un acte citoyen. Parce que franchement des mecs comme ça, ça devrait pas exister). C'était Pat Sanssfiguraipourmouhamerci, sculpteur de piquet de grève (au sens propre) comme on n'en voit plus dans nos contrées. Sur ce je vous laisse, je viens, après m'être excusé et lui avoir restitué ses abats, de lui proposer de s'enfiler un petit godet pour fêter ça. Et il m'a répondu qu'il n'avait jamais fait ceci mais qu'en forçant un peu ça devrait passer... Un spectacle que je ne manquerais pour rien au monde ! A vous l'édition ! M.CG.
L'INVENTION CON DU MOIS Aujourdh'ui, la grève des rédacteurs M.CG.
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VOCABLES EN GUERRE SAINTE Nouveau Concept : Faites les vous-même ! M.CG. Solution de l'édition précédente
PETITES ANNONCES - J.H. enthousiaste, compatissant, dynamique, ayant suivi avec ferveur la grande marche des grévistes de la C.G.T, aimerait bien savoir où il se trouve à présent. Et pourquoi les gens autour de lui ont l'air aussi fatigués et si pâles. C'est tout gris dans le coin. S'adresser à Henry Duchalon, empruntes télépathiques disponibles à l'Université de Magie de Maender-Alkoor. Adresse actuelle inconnue. - J.H. plus tellement emballé aimerait VRAIMENT savoir où il est. Et surtout où il peut aller. Et vite. C'est toujours Riton, adresse actuelle toujours inconnue mais en déplacement latéral accéléré constant. - Aaaarrgh ! S'adresser à aaaaarrghhghargharghausecoursausecoursjevaismourir. - Brraaaiiin. S'adresser à la Compagnies des Montagnes Noires, 5, avenue Duchalon, Terres Chaotiques. - Syndicat un peu timide cherche grande gueule pour mener à bien leurs revendications. Pas courageux ni charismatique ni résistance majeure au feu s'abstenir. S'adresser aux Balayeurs Impériaux Pas Très Très Contents, palais impérial, juste après le dragon. - Gréviste professionnel assermenté cherche cohérence et sens à sa vie. S'adresser à Patrice, membre n°2563 des Emmerdeurs Anonymes, 17 rue de la Troussidule. L.C.B.
L'OURS Rédac'Chef : Meecztow, The Carrot God. Dieu du stylo Bic, Speedy Gonzalez de la littérature ferroviaire, tyrannique Grand Chef et âme de cette Gazette. (M.CG.) Rédatrice Adjointe : Pétulia, Déesse des Affections Négociables, dont les prix ont flambés depuis sa décision d'adopter une politique de client unique shooté à la tomate. Délicieuse créature douée d'autant de qualités pour la cuisine elfique que de maîtrise des instruments culinaires. (P.DAN.) Rédacteur Adjoint : Le Chat Beauté ou Le Connard Balistique, surnommé ainsi suite à un essai d'en faire le premier félin lunaire à grands renforts de postéropodage. Malheureusement l'unique cible atteinte fut le voisin subtiliseur de tondeuse. (L.C.B.) Ont participé à ce numéro et je les en remercie fortement : Chaussete, jeune et odorante pièce de textile, très rigolote à mettre en boîte. (Merci Chaussete) Mérédice, de Thurm. Cuisine elfique- mille et une façon d'accommoder le nain. en vente dans toutes les bonnes librairies elfiques. (Merci Mérédice) Rögen, dessinateur talentueux, merci pour cette pin-up, finalement utilisée. Zelkyriel. Modèle réduit d'elfe végétarien qui gigote de façon hilarante quand il dit “Fi !”. Algarys, jeune et jolie esquisseuse qui nous offre un croquis très ressemblant de notre petit Errol en pleine puberté ! (Merci Algarys) Kuru, petite pousse délicieusement adorable, dessinatrice hors pair, princesse de l'amour sous mon emprise, qui me permet d'inaugurer une nouvelle rubrique. Cette édition a été réalisé chez moi. J'en suis très fier. Merci à tous ! Je continue dans ma lancée de “personne ne lit l'ours” pour vous dire que je compte fêter cette sortie en mangeant avec des potes et en buvant des binouzes ! Si une gente damoiselle fan de mes fânes (et qui ne le serait pas) avait l'intention de se jeter à mon cou et de m'offrir des moments de luxure dont même Aleph serait abasourdi, j'accepte sous conditions. Sur ce, à la prochaine ! The Evil Carrot God, Meecztow
FAIT D'ÉTÉ La grève générale fait aussi quelques victimes : ainsi, tout le quartier de la Chausse-Trouée est à l'heure actuelle bloqué par le Mouvement des Météorologues et Divinationneurs Pas Contents En Colère. Les manifestants, qui ne manifestent pas du tout, en fait, se cachent à chaque coin de rue, et attaquent les passants pour leur bander les yeux. Les habitants du quartiers ont été enfermés et barricadés de force, leurs volets bloqués, afin que "personne ne s'essaye à essayer de savoir le temps qu'il fait". Dans le même ordre d'idée, des feux ont été allumés ici et là pour éviter que, même enfermés, les habitants puissent se faire une bonne idée de la température.Il est à craindre qu'il ne faille faire appeler la Garde Royale pour disperser ces Grévistes forcenés, dont, à l'heure actuelle, personne n'a encore compris les revendications. L.C.B.
LE STRIP DU MOIS
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CHAMPÊTRE ATTITUDE Compte rendu du Grand Tournoi de Nécromancie. Chers lecteurs, c'est avec impatience que vous attendez de connaître les évènements survenus lors du GRAND TOURNOI DE NECROMANCIE, qui a connu un grand succès avec une forte affluence... Et, et je dois vous avouer que je dis n'importe quoi, j'ai même pas de chiffres, j'ai autre chose à faire que de me prendre la tête sur la fréquentation d'une fête pourrave de zombies et autres squelettes dégarnis. De toute façon je n'ai pas assisté au tournoi, j'ai fait le mur,je suis allé au Tambour Crevé me descendre quelques bières. Nan parce c'est vrai quoi, y'a pas que le boulot dans la vie ! Et puis y'en a marre de se faire exploiter par une Carrotte Géante, soi-disant Rédacteur en Chef ! JE FAIS GREVE ! JE REFUSE DE PARLER DE CE TOURNOI A LA CON avec danse de crevettes, mômes hurlants,chats revenants, zombies puants et tout le tralala ! ET VOUS NE POURREZ PAS ME FORCER !!!! AHAHAHHAHAHA!!!! *rupture momentanée de la liaison avec le journaliste* SALUT LES COCOS ! Je suis ravi de vous revoir et vous parler du fantastique tournoi de nécromancie du mois dernier, c'était top cool, trop bath, hyper green tout ça ! (Hey, ça fait mal ce couteau sous la gorge ! ). *La Chasse au trésor* Mr A.Hainstein fut le premier a réunir les os demandés, mais convaincu de tricherie (ce pleutre sournois et puant avait emmené et dissimulé un cadavre à lui ), il a du renoncer à la victoire,qui est revenu à Mr Nueutonneuh qui lui a patiemment et très intelligemment (je dirai même finement) collecté les os ! Trop fort ce keum, je le kiffe ! Voilà la suite mes ptits chous ! (Comment ça j'en fais trop ? NON MAIS DITES DONC, MONSIEUR LE TROLL DES MONTAGNES, VOUS ETES JOURNALISTE VOUS PEUT-ETRE ?Non évidemment, vous êtes juste bon à tabasser des gens innocents hein ! Alors me dites pas ce que je dois faire ! Espèce de ...Aïe ! Arghhhh ! AU SEC.....) *Animafion des cruftacés* Le clou du fpectacle fut la réinterprétation de la célèbre danse des canards (fi fi, afec un "a") par une farabande de palourdes, à un rythme endiablé !l'affiftance a été conquise, notamment par le fex-appeal fou de Miss.Boumba, la meneuse de la troupe, une belle ...connerie cet article ! V'en ai marre, ze me caffe, tant pis pour les conféquences, La Carotte Zéante ne me fais pas peur à moi ! Adieu bande de débiles ! P.DAN.
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